Je me suis amusée cet été à reproduire des plats de mon enfance ...

Comme les paniers de tomates si faciles à réaliser, une fois trouvé le bon couteau qui coupe juste bien sans déborder et casser l'anse ! 

Paniers farcis une fois de macédoine-mayonnaise (à la demande de l'Homme, ce n'était pas un plat "de chez-moi !), une autre fois de thon au céleri, et une dernière de miettes de surimi et mayonnaise.  

Mais aussi la salade de haricots verts aux œufs durs, classique des déjeuners chez mes grands-parents maternels (mon seul écart avec la recette originale est l'utilisation de vinaigre de framboise, plus doux que celui que concoctait mon grand-père avec ses restes de bon vin!) 

Finie de broder fin mai, il m'a fallu presque tout l'été pour me décider à réaliser le montage de cette trousse et donc me séparer de cet en-cours de cinq ans et demi ... 

J'ai utilisé pour la doubler un tissu de mon stock, acheté au début des années 2000, pour réaliser des coussinets à lavande qui n'ont jamais vu le jour ! 

Voilà donc ma toute belle trousse Manon prête à être mise en service ! 

L'intérieur, dévoilé en deux temps ... 

Et l'extérieur, la trousse fermée par deux pressions en plastique.

Il m'arrive régulirement de faire des quiches sans pâte pour les plateaux télé du week-end. 

Cet été j'en ai vu passer une variante plus végétale qui m'a donné envie de la tester aussitôt ... 

Et comme on a aimé, j'en ai fait plusieurs fois ! 

J'ai pris (pour deux) 
Une courgette 
Du jambon coupé en tranche épaisse
du fromage (emmental ou comté) 
1 œuf
10 cl de crème fraiche 
15 à 20 cl de lait
sel, poivre, éventuellement muscade

Préchauffer le four à 210°Laver et détailler la courgette en tagliatelles en utilisant un ruban à légumes.
Couper le jambon et le fromage en dés.
Préparer l'appareil en mélangeant l'œuf, la crème et le lait
Disposer les lanières de courgettes dans des moules à muffins profonds de façon à recouvrir le fond et les côtés 
Disposer le fromage et le jambon dans les courgettes
Verser l'appareil lait / crème / œuf
Faire cuire 20 à 30 minutes jusqu'à ce que le dessus soit bien doré
Laisser refroidir dans le moule 
Servir à température ambiante 
 
 

Le programme d'août était bien ambitieux ... 

Et c'est seulement dans la dernière décade que j'ai pu m'y consacrer après en avoir fini de la lecture des romans de la rentrée  pour Orange, du dernier cadeau de Babelio et des lectures conseillées par l'Enfant qui sont venues bousculer un programme chargé ! 

Pour septembre, je vais encore persister à inscrire des livres que j'espère lire ... pendant ce mois-là ou un autre ... 

La grande vertu de ces programmes mensuels étant de faire remonter à la surface des livres presque oubliés ! 

Voilà donc mon choix éclectique pour septembre, composé d'achats récents et de livres exhumés des Billy 

ainsi que  d'emprunts auprès de la médiathèque du village voisin

Ce programme sera vraisemblablement complété d'emprunts auprès de la bibliothèque Italie ainsi que d'e-books dont ma consommation augmente fortement.

Un sens interdit brûlant déniché lors d'une de nos balades parisiennes de mars 2019

Pendant la pause estivale de la crèperie du village voisin, nous nous sommes réfugiées sous l'auvent du pigeonnier de ce village pour tricoter au frais, dans la brise légère qui nous apportait les senteurs des feuilles du figuier voisin ... 

A deux, trois ou quatre, selon les semaines, nous y avons passé de bons moments à papoter, échanger, décoder et avancer nos ouvrages ...

Le Musée Ingres de Montauban se rénove depuis janvier 2017 et ne rouvrira ses portees qu'à la fin de cette année ...

Pendant sa fermeture, ses collections sont en balade ! 

Nous avions vu certains dessins et sculptures, l'été dernier, dans les locaux de l'ancien Collège de Montauban.

Au mois de Juin, c'est au Petit Palais que nous avons retrouvé certains chefs-d'œuvre de Jean-Auguste-Dominique Ingres accrochés dans une salle dédiée des collections permanentes.

Souvenirs d'enfance et d'adolescence ... un de mes profs d'histoire nous amenait souvent visiter le Musée Ingres 

Comme en 2017 et 2018, la médiathèque du village voisin a concocté des pochettes surprises ...

Après la pochette n° 20, dont j'ai bien apprécié la BD et l'album, j'ai choisi la pochette n° 37 ... 

A suivre ... 

A suivre ... 

Un maximum d'ouvrages en-cours cet été ... tous démarrés avec un but en tête mais que les circonstances m'ont poussée à alterner ! 

Un châle en alpaga, démarré en juin à Paris, mais bien trop chaud pour que je m'y consacre cet été caniculaire ... je le reprendrai à l'automne, quand les températures baisseront ...

Ribbons, dont les blocs de deux des trois bandes ont été assemblés, avec un peu de mal ... ce qui a réduit mes ardeurs pour avancer sur leur assemblage ... et cet été est trop chaud pour avoir toutes ces bandes de tissu sur les genoux ! 

Et mon chouchou ... ces chaussettes "brume océane" qui avancent vite vite vite ... jusqu'à ce que l'aiguille se casse ... 

et dans l'attente de la réception de sa remplaçante, j'ai démarré une nouvelle écharpe d'été, autre version de celle réalisée en 2017 ! 

Mes copines-cocottes semblant emballées par ce plat, j'en ai fait à mon tour, en m'inspirant de celle-ci, et l'Homme* s'en étant régalé, j'inscris ici cette recette pour m'y référer les prochains étés  

500 g d’aubergines
300 g de céleri branche
1 Oignon
100 g d’olives vertes
1 grosse cuillère à soupe de câpres
250 g de tomates
36 g de sucre
10 cl de vinaigre de vin rouge
quelques feuilles de basilic
huile d’olive
gros sel

Laver tous les légumes
Couper les aubergines en dés, les disposer dans une passoire, saupoudrer-les de gros sel.
Couvrir d’une assiette et de poids (j’ai mis deux grosses boîtes de conserve) pour qu’elles  perdent leur amertume (laisser s’égoutter pendant une heure environ).

Nettoyer et couper les branches de céleri
Faire blanchir dans une casserole d’eau bouillante salée.
Les sécher puis faire revenir à feu doux dans un peu d’huile d’olive.

Dans une autre poêle, faire revenir les oignons émincés. Une fois translucides, ajouter les câpres et les olives, et faire revenir le tout pendant 10 minutes. Ajouter les tomates coupées en cubes et laisser cuire à feu vif pendant une vingtaine de minutes.

Après une heure sous les poids, rincer les dés d’aubergines. Les sécher et faire revenir à feu vif dans de l’huile d’olive jusqu’à ce qu’ils soient dorés.
Ajouter les autres légumes, le sucre et le vinaigre, et laissez cuire le tout jusqu’à évaporation de l’odeur du vinaigre. Vérifier l’assaisonnement.

Laisser refroidir et servir avec des feuilles de basilic frais.

Ce plat se congèle très bien.

* Pas moi : je ne mange pas d'aubergines !